Le 17 octobre, nous arrivons à Puerto Iguazu, côté argentin vers 17h00.
On enchaîne directement pour un collectivo, afin de passer la frontière et dormir au Bésil.
Sauf qu’il y a une heure de plus au Brésil, et le temps de faire tamponner les passeports, on doit attendre le dernier bus de 21h00. Quand il arrive enfin, il est blindé de monde, et nous, avec les 3 enfants et les 7 sacs, c’est un périple qui nous attends pour descendre à l’arrêt souhaité. Après 10 quadras (toutes les villes sont quadrillées, les quadras sont les blocs) soit 30 min de marche sous une chaleur pesante, l’hôtel est complet, puis le second aussi, enfin le troisième est le bon. Mais seulement pour une nuit. Le lendemain avant de libérer la chambre nous squattons la piscine pour travailler un peu.
Pour les fosses, il faut repasser les frontières, du coup on prend un taxi pour quasi le même budget, sauf que le trajet ne dure que qqs minutes.
15 ans après les chutes sont toujours impressionnantes, que ce soit Damien ou moi, on ne se souvenait plus que c’était aussi grand. Donc nous refaisons les deux côtés, Brésilien le 1er jour et Argentin le second. Les filles sont également impressionnées, et le fait d’être arrosé les fait beaucoup rire.
Nous changeons également d’hôtel et trouvons de la place dans la Posadas Aloha, maison d’hôte. Nous ne perdons rien au change, l’endroit est beaucoup plus chaleureux, le petit déjeuner top, la piscine plus petite mais que pour nous, et nous pouvons utiliser la cuisine. Les propriétaires de cette grande maison sont une famille très sympa et souriante où les enfants aident au fonctionnement des lieux. Parfait pour traîner et faire les devoirs.
Dernier jour, nous nous promenons dans Foz de Iguaçu et Maëlle décide de faire une braderie avec ses vêtements trop petits pour elle. Elle veut s’installer dans une rue comme font les vendeurs ici.